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31 décembre 2014 3 31 /12 /décembre /2014 21:11

 

 

Les investisseurs financiers, qui placent leurs fonds en novembre et les retirent à l'approche de la belle saison sont-ils revenus sur le marché ? Cette technique du « sell in May and go away » est-elle si rentable ? Pas vraiment, si l'on en croit une étude récente.

 

Les premiers frimas sonnent l'heure du retour des investisseurs saisonniers qui suivent le vieil adage « vendre en mai et partir loin ». Ce vieux proverbe boursier, attribué à l'origine au comportement des investisseurs aristocrates britanniques qui préféraient disposer de leurs revenus pour se distraire pendant la belle saison, préconise d'entrer sur le marché le 1er novembre et de se retirer à partir du 1er mai. Une étude récente à partir des données des 20 dernières années semble prouver le contraire.

Partant de l'hypothèse que le CAC 40 est un support d'investissement représentatif du marché actions français, l'étude porte sur le comparatif de deux personnes qui investissent à la même date 1000 euros, mais qui ont des comportements de gestion différents sur 20 ans. Le premier est investi sur le CAC 40, alors que le second suit l'adage « sell in may and go away » à la lettre et alternent périodes d'investissements et de retrait. Le second tient la technique du « buy and hold » , conservatrice .

Eh bien, sans surprise J, elle confirme une fois de plus, si besoin était, que la bourse ne suit pas de calendrier. Elle démontre que les investisseurs qui auraient suivi cet adage auraient de moins bonnes performances que ceux qui seraient restés investis en permanence depuis le 31 décembre 1987.

Au bout de 20 ans, l’investisseur saisonnier aurait récupéré 8 499 €, alors que l'investisseur stable aurait gagné 9979 euros soit une différence d'environ 1500 €. La performance annualisée de l'investisseur permanent serait de  12,4 % soit un point de performances supplémentaires par an par rapport à celui qui ressort du CAC 40 du 1er mai aux 31 octobre.


 

 

 

 

 

 

 

Nous avons donc une confirmation qu'un investissement calendaire ne donne pas « systématiquement » de bons résultats. Il y a quelques années, pour des périodes d'investissements plus courtes, il était conseillé d'investir le lundi et de sortir le vendredi. Bien entendu  « l'effet lundi » n'a aucune raison d'être et l’a l'été démontré à maintes reprises . C'est amusant car certains ont défendu par la suite « l'effet mardi » rapidement dénié. Il vous reste encore cinq jours à étudier pour être des créateurs d'une technique remarquable ! !

 

 

 

L’investigateur de cette étude fait ressortir qu'il est important de rester investi sur le long terme car rester investi sur le CAC 40 pendant cette période de 20 ans permet de réaliser une performance cumulée de près de 900 %. D'autre part, il est dangereux d'essayer de jouer avec le marché, comme sont souvent tentés de le faire les investisseurs notamment lors des périodes de turbulences des marchés.

 

 

 

 

 

 

Mais toute étude doit être interprétée dans sa globalité, et l'une des premières  remarques  est qu’elle a été initiée par une compagnie d' assurance-vie alors meme que l’absence d’effet lundi ou mardi ou …était une ineptie .   Il me semble que cela n'est pas innocent…. Quel meilleur exemple pour ses clients que de faire confiance au système « buy and hold » , typique de l'investissement en assurance-vie !!

En effet, cette étude avait pour seul but d'analyser l'effet calendaire sur un investissement, un marché donné et une période donnée. Les résultats auraient-ils été les mêmes sur une durée de 10 ans, ou une période commençant l'année 2000 ?


 

 

 

 

Méfions-nous donc des conclusions faites dans cette étude dont l'initiateur retient que la technique de l'investissement permanent et sans retrait est la meilleure. Il omet (mais cela n'était pas le but de l'étude) de préciser qu’un investissement sur tendance au cours de ces 20 dernières car il est clair que le résultat n'aurait pas été en faveur du type d'investissement utilisé dans le cadre des contrats d' assurance-vie.

Mais peut-on demander à un « vendeur de produits financiers » d'être tout à fait objectif quant à l'interprétation d'une étude... Même si la méthodologie de cette dernières est correcte !!!

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21 août 2007 2 21 /08 /août /2007 21:49

Julien me pose la question suivante: " Pouvez vous m'indiquer s'il peut être réaliste d'ésperer une performance annuelle de 20 %?".

La réponse est ...oui en performance lissée. Quand un indice quelconque fait 20% de hausse annuelle , peu de mérite à faire 20 ou 25% pour un trader averti  (les gérants de SICAV font souvent un peu mieux). Quand un indice fait -20% , pas bien difficile avec des ventes à découvert de faire l'indice en valeur absolue soit 20%. Le problème reste les années peu "trendées". la magie des interets composés fait alors la différence.

Un trader peut faire chaque année la valeur absolue de l'indice s'il possède un système simple et un bon moneymanagement . Je vous propose de développer cette question lors des prochains articles .

Bons trades . Le moneymanagement est la clé du succès.

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28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 19:13

Plusieurs d'entre vous m'ont demandé pourquoi la série sur mes trades Forex avait disparu.

1- je donne mon avis sur www.mataf.net. Pas tous les jours mais quand je trouve un suivi interessant (récemment short sur usd/jpy pui s short sur eur/jpy). Ca se passe sur le chat , c'est en live , donc pas d'arrangement ...

2- j'ai arreté la publication et l'analyse des trades car je ne suis pas sûr du tout que cela soit utile . Le "conseil" est généralement "copié" sans vraiment comprendre le sens ni les déterminants qui ont conduit à sa conception (timing, options de sorties,etc..) : les expliquer correctement serait bien trop long. Je préfère les "avis", les "sentiments" en quelque sorte les alertes que je remarque: après , c'est à chacun d'appliquer son système sur la paire et le sens donné.

J'espère avoir répondu (succintement) .

Bon Week end  www.jctrader.com Le money management est la clé du succès

 

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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 10:31
Suite à une question d'un novice  qui souhaitait investir 300$ sur un compte de trading (forex) et faire 10 pips  par jour , voici ma réponse: (la discussion de mataf)
 
 
 
"Bonjour.

Pour me faire l'avocat du diable (il est tard et je suis fatigué...)...oui , on peut commencer à trader avec 300$ !!
Et oui on peut faire 10pips par jour !!! meme plus!!! (que ceux qui me connaissent se rassurent : non je ne suis pas sous l'emprise de substances illicites... blink.gif  lire la suite)

Mais 10 pips par jour , c'est une moyenne...et tu auras des séries négatives consécutives...Vu le faible capital , tu seras obligé de jouer petit risque, le spread te couteras en gros 0.6% en levier 1 , donc mini compte à 0.1 le pip. Et ton compte grossira bien en % mais très peu en capital...donc .. blush.gif

Un jour ou l'autre, vu tes bons résultats...(homéopathiquement probables mais espérés...) , tu augmenteras ton levier pour majorer ton capital et à tout coup , tu seras éjecté. Car il y'a la performance du systeme (en %) et l'appat du gain (en capital) . Faire 50% si ca ne rapporte que 150 euros , au temps passé , c'est une imbécilité : mieux vaut trouver un petit job ou faire des heures supp (non imposable ..merci qui rolleyes.gif ) et faire grossir ton capital...par ton travail. Allez le mini 10 euros de l'heure, 20 euros pour deux heures , pendant 220 jour ouvrables...4400 euros et je te passe les interets composés ...

Petit calcul de base ( en jouant 0.1 lot)
...12/300 = 4% de croissance journalière. Admettons... c'est une illusion absolue mais utile pour le raisonnement .
...10 pips de gain quotidien moyen sur 220 jours ouvrables: 5600 fois la mise initiale chaque année !!!! Trop facile !!! Sur une journée complète , ca ne fait que plus de 1000 euros de l'heure !!! J'te le dis ...c'est facile !!! mataf_siffle.gif Tout le monde te le diras ici ... mataf_crying.gif

Maintenant si tu trades à 0.1 dollar le pip (croissance 0,4% daily), ca te feras 2.6 fois la mise ...tu obtiens le super capital de 722 euros ...au temps passé ,je préfère femme de ménage ou chèque emploi service pour garde de chien...ou jardinier (pour moi ce sera un réel plaisir rolleyes.gif ): c'est beaucoup plus sur !!!! Je rajouterai que , fier d'etre trader, tu auras aura dégagé un revenu de 1 euro de l'heure. Ca fera rigoler la femme de ménage..mais toi tu seras trader...

Mon conseil : augmente ton capital par ton travail et reste en démo pour réussir à faire 10 pips par jour ...on en reparle dans 6 mois...

Bons trades   www.jctrader.com  Le moneymanagement est la clé du succès

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23 juillet 2007 1 23 /07 /juillet /2007 00:28
Dans le dernier article , j'évoquais la volatilité du marché , indiquant que le stop en % correspondait bien à une volatilité stable type long terme mais pas toujours sur un timing plus court.
Par manque de chance ...la volatilité peut etre observée en permanence..mais ne peut etre mesurée qu'a posteriori..Mais si on accepte de travailler l'idée que la volatilité récente est une bonne indication de la volatilité à venir , on peut envisager les stops en % dans une optique de marché plus volatile..voilà une piste interessante...:))
 
La volatilité peut etre calculée de facon universelle sur tous les marchés et tous les supports et ceci par définition. Il y'a deux façons de faire.
La première consiste à mesurer les mouvements d'une cloture à l'autre en % et de calculer leur déviation standard sur le mouvement des prix.C'est ce qu'utilise les modèles académiques et la plupart des traders d'options, qui utilise la volatilté comme partie de formules d'évaluation des options type Black-Scholes (en fait , lorqu'on travaille les options, on utilise une représentation logarithmique mais ça ne change rien au principe).
Ainsi , plus les mouvements sont amples, plus la déviation standard est grande et plu sles stops (ou sorties) sont placés loin des pri x d'entrée, évitant ainsi que les trades soit arretés trop tôt.
Par exemple, en placant un stop à une déviation standard du prix d'entrée, seuls 16% des mouvements toucheront le prix d'entrée (par définition ..revoir les notions de déviation standard...).Si le stop est à 2 déviation standard, seulement 2.5% des mouvements du sous jacent atteidront ce stop. Ainsi , la distance entre le prix d'entrée du trade et le stop sera constante en terme de déviation standard mais variera en termes de % en fonction du mouvement actuel du marché (ou du titre ).
 
!! attention cette démarche est statistique : ce n'est pas l'assurance que  16% ou 2.5% des stops seront touchés ..il y' a toujours le risque qu el'évolution du marché vou sdonne tort sur le trade en cours ...les statistique ssont faites d'exception ,l'essentiel étant de ne pas en rencontrer trop souvent...)
 
Calculer une déviation standard est facile (sous Excel notemment) mais nécessite de 20 à 30 données.Les plateformes de trading donnent souvent sa valeur . Mais , pour revenir au début de cet article prolongeant la recherhce sur un timing court, est il raisonnable de s'appuyer sur la volatilité estimée sur les 20-30 dernières journées pour trader un marché à court terme de 5-6 jours par exemples..Non , certaienemt pas  car les données les premières ( et surtout ce à quoi elles correspondaient sur le marché , les fondamentaux par exemple) ont été ingérées, digérées par le marché .
Ainsi , l'utilisation de la volatilité est une necessité pour poser ses sorties , stop losses ou take profits . Les systèmes basés sur la déviation standard sont supérieurs à ceux basés sur le simple % car moins statiques vis à vis de l'évolution en cours du marché.
 
Reste à trouver le meilleur instrument pour mesurer la volatilité sur le court terme :c'est la seconde façon d'apprécier la volatilité....à suivre.
 
Bons trades www.jctrader.com  Le Money management est la clé du succès
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22 juillet 2007 7 22 /07 /juillet /2007 00:25
C'est pas tout de savoir ce qui n'est pas bon encore faut il connaitre ce qui l'est...
 
La méthode en pourcentage est une des deux méthodes correctes pour poser un stop.
Elle est simple puisqu'elle place le stop à égale distance du point d'entrée. En prenant un stop 10% , le stop sera à 1$ d'une valeur de 10$ et à 10$ d'une valeu rde 100$.
Simple ...et ...efficace sur de nombreux titres, sur de nombreux marchés, quelque soit l'époque..On peut toujours optimiser ce % et ces optimisations changent selon l'époque, le sous jacent mais, en fait..., il y'a peu d'optimisation à faire : on s'apercoit que les valeurs de % à retenir sont très proches en moyenne (nen déplaise à ceu x qui aiment tout optimiser...et sympa pou rles autres qui n'ont pas qu eçà à faire ...)
Le principal ennui de ce type de stop c'est qu'il est assez statique. En fait , il est adapté à un trade mais ne tient pas compte de l'évolution du sous jacent au fil du temps.et donc des conditions du marché. A volatilité constante, c'est un bon type de stop .
Néanmoins la volatilité change en permanence et les changements n'étant visibles qu'a posteriori, il est possible que si la volatilité baisse, le stop ne soit jamais touché et laisse en place un trade en dérive latérale avec immobilisation du capital (ou de la marge). Au contraire , en cas d'accélération de la volatilité, les stops seront touchés rapidement et souvent (majorant le % trades perdants) .
En conclusion , ce type de stop est plus pertinent sur des periodes ou la volatilité varie peu comme c'est le cas pour le long terme . Pour le court terme ; il est plus difficle à utiliser de par sa construction et la structure plus volatile du marché.
 
Bon ben alors ...on fait comment ???
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21 juillet 2007 6 21 /07 /juillet /2007 02:50
On parle toujours beaucoup des entrées lors d'un trade et rarement des sorties. Pourtant ce sont les sorties qui déterminent si le trade a été bon ou pas ...Et conséquence de cela, ce sont souvent les deux plus mauvaises méthodes de sorties qui sont le plus utilisées .
La première mauvaise méthode est de fixer  un montant de perte en valeur ou un pourcentage fixe de perte par trade .
Un système Us recommande de faire varier le montant du stop en fonction du prix du support . Ainsi :
 
valeur stock      trailing stop
 
5-10 $                     2$ 
10-20 $                   3$
20-50 $                   4$
>50 $                     TL 10%
 
Ainis pour une action à 5$ le TL sera placé à 2/5 = 0.4 soit 40% du capital investi et pour une action à 50$ comme dit plu shau tà 10%?
Y'a t il une justification ? Oui car la volatilité des penny stocks est bien supérieure aux valeurs de 50$ mais cela justifie t il de prendre un risque de 300% supérieur  (40/10-1 = 3) ??  Vous me direz que ,quoiqu'il en soit, placer un stop à 40 % n'est pas le signe d'un bon trading , pas plus que 10% d'ailleurs !!
Mai srevenons sur la première foruchette de rpix c à dire 5-10$.La différence de risque est de 100% :
 
[(2/5)/(2/10)-1]= (0.4/0.2)-1=1 soit 100%
 
Que faire des valeurs qui  vont osciller entre 5 et 10?
 
La seconde mauvaise méthode consite à appliquer aux stops le fait qu'il ne faut jamais risquer plus qu'un certain montant du capital par trade.Par exemple j'ai un cpital de 10.000$ , je place mon stop loss à 2.000$.  L'idée est bonne puisquelle maitrise un risque mais comment alors s'adapter aux conditions du marché . Le marché faisant ce qu'il doit faire, si vous ne pouvez pas adapter les stops, autant ne pas trader.Ainsi , le stop sera souvent trop petit pour un marché haut et trop large pour un marché bas.
 
Il faut aussi interpréter l'influence de ces stops sur le drawdown . Dans un marché bas , avec une foruchette fixe, vou sobtiendrez quelques drawdowns spectaculaires mais il est vrai peu nombreux . Dans un marché haut , le drawdown sera faible , mais vous multiplierez le nombre de trades perdants!
 
Difficile d'interpréter les sytèmes avec de tels stops.
 
La suite est en cours ....:))
 
Bons trades www.jctrader.com  Le Money management est la clé du succès
 
 
 
 
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15 juillet 2007 7 15 /07 /juillet /2007 23:26
 Vous avez un fantastique système de trading qui vous fait régulièrement gagner de l'argent? Vous pensez sans doute avoir trouver le Saint Graal mais..ce pourrait être une erreur...!! Votre système est de peu d'importance pour gagner régulièrement sur les marchés .

Je lis souvent des traders  discuter de  "la meilleure façon" d'investir et assurer que leur méthode est bien plus pertinente que celles des autres.La passion et l'énergie de ses traders sont merveilleuses mais ils ont oublié l'essentiel. Personne ne peut dire qu'investir sur les options est meilleur que d'investir sur les actions, que le forex permet de plus forts gains que les trackers,etc..En fait chacun développe un système qui lui convient en fonction de son propre caractère et utilise le meilleur véhicule pour atteindre son objectif.

De même , je lis souvent des discussions concernant les systèmes . Tel défend le day trading , l'autre le swing, le scalping' ,le "buy and hold" , l' analyse fondamentale, l' analyse technique, les vagues d'Elliot, le croisement de moyennes mobiles,etc....et chacun donnant des exemples de réussite ou critiquant telle ou telle méthode.

En fait, toutes ces méthodes marchent si vous comprenez le Saint Graal du trading : savoir comment VOUS fonctionnez et comment vous raisonnez.

Car ce n'est pas le système qui fait que quelqu'un réussit : c'est celui qui l'utilise qui fait que le système marche !! Vous pouvez reprendre par le détail un système, vous le faire expliquer par un "expert" et les résultats ne seront pas  ceux attendus. Chacun doit comprendre l'importance de sa personnalité sur les résultats de son trading : pour être régulier en performance , vous devez "travailler" sur vous. C'est capital !!

Prétendre que tel ou tel système est "LE" système est imbécile.

Vous trouvez dans la littérature des centaines d'exemples d'investisseurs  ou de traders qui ont réussi . Des livres entiers leurs sont consacrés. Ils ont tous utilisés des supports d'investissements différents, des méthodes différentes, des timings différents, des systèmes différents.La seule chose qu'ils aient eu en commun c'est leur money magement et leur gestion du risque !!

Le money management dont fait partie le risk management, est le centre vital du Saint Graal du trading : ce n'est pas le système. Certains passent des années à chercher des systèmes au prix de recherches mathématiques approfondies voire sulfureuses, sans aucun résultat, pour s'apercevoir que le money management est la clé du succès.  C'est encore arriver il y'a peu à un spécialiste francophone autoproclamé  des systèmes de trading .. qui ne trade pas. Sans doute a t il oublier la globalité du trading. Il ne faut pas être aveuglé par "le" système, il faut réfléchir.

Si certains vous disent que "leur" systeme est bien meilleur que le votre, changez de trottoir... ils n'ont pas tout compris. Vous aurez mieux à faire à réfléchir seul..meme si rien ne vos empêche de vous inspirer des travaux des autres et de tester ce qui vous convient le mieux.

 

Les exemples ne manquent pas dans la littérature :

  • Michael Marcus est passé de $30,000 à $80 million en tradant les futures
  • Michael Steinhardt a fait  30% annuel return pendant  21 ans avec les actions
  • Tom Baldwin débuta avec $25,000 et tradit  $2 billion par jour sur les T-bond futures
  • Paul Tudor Jones a triplé annuellement la valeur de son fonds pendant 5 ans en utilisant tous les supports
  • Ed Seykota est prétendu avoir réalisé  250,000% de return en 16 ans sur les futures
La liste de ces exemples pourrait être longue mais ils tradaient tous des marchés différents avec un système différent, des timings différents. Le seul point commun majeur était le Money Management.

La meilleure "recette" que je puisse vous donner pour réussir ou vous améliorer :

* Choisissez un système à espérance mathématique positive, quelque soit la méthode (pas de sectarisme)

* Apprenez à vous connaître : c'est utile pour le trading comme pour la vie quotidienne.

* Ajoutez-y une énorme poignée de money management.

Vous avez la recette : à vous de travailler maintenant !!

Bons trades  www.jctrader.com  Le Money management est la clé du succès

 

 
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14 juillet 2007 6 14 /07 /juillet /2007 11:40

Vous trouverez ci dessous un article de John Ansbacher sur le risque de ruine d'un système de trading . C'est un article général ...mais il y'a une erreur .

Une indication : il faut toujours connaitre le comment et le pourquoi des indicateurs et des formules qu'on utilise...

""What Is The Risk Of Ruin?
Please excuse me if I start off a little technical in this article. There is nothing complicated about the risk of ruin concept but it does require a quick calculation.

Simply stated, the risk of ruin is the percentage probability that a trader’s account balance will reach zero. This will either result in the trader ceasing to speculate on the financial markets, or having to stump up another chunk of capital in an attempt to make back the first tranche before making net profits.

Having a solid trading strategy which is applied with discipline is clearly crucial, however understanding your probability of success or failure given certain actions must be more so.  By using the risk of ruin formula a trader can optimise his risk per trade to minimise the probability of going under.

Risk of ruin = ((1 - Edge) / (1 + Edge)) ^ Capital units

Where ^ denotes 'to the power of'

Edge is the percentage advantage that the trading strategy has over a randomly selected group of ‘nonsense’ trades. For example, if I place 10,000 trades and 50% of the time the market falls and 50% of the time it rises (when I thought it would rise every time) the results would show that my strategy had an edge of zero%.

However, if my predictions are accurate 51% of the time then I have an edge of 1%.

Capital units are the number of units of money that you have to risk. For example, if you have £1,000 in your trading account and risk £50 on every trade, you have a total of 20 capital units (1,000 / 50).

 

 

 

 

The Risk Per Trade
The most important thing to consider in calculating the risk of ruin for your trading is your ‘edge’. If your edge is zero and your trades are no better than darts thrown at a financial newspaper by a monkey then you should not trade at all. Assuming however that you are able to make at least slightly intelligent decisions it should be greater than zero.

Let us conservatively assume the hypothetical case of a trader with a 5% edge over randomness. The chart below shows the probability of depleting his account to zero assuming a range of units of capital from 1 unit to 100.

As the number of units of capital increases, the probability of losing all of the funds in his account decreases towards zero.

What this m eans in practical terms is that one should sub divide one’s account into anything up to 100 individual units of capital and risk no more than one unit per trade. ""

La formule est à retenir

Risk of ruin = ((1 - Edge) / (1 + Edge)) ^ Capital units

Where ^ denotes 'to the power of'

mais elle n'est pas réellement applicable au trading !!! En effet ,cette formule a été établi pour des systèmes à gains/pertes égaux  par exemple comme dans certains jeux de casino (rouge noir à la roulette, certains pokers tels:

  • - vous gagnez une fois votre mise
  • - vous perdez une fois votre mise

Ce n'est pas le cas en trading , ne serait ce que par les frais prélevés par le broker. Cela reste néanmoins utilisable . On le remarque bien dans la formule qui ne tient compte que des % win/loss et pas du montant des gains /pertes.

Il faudra donc la combiner avec une autre approche tenant compte du ratio Win/loss.

Mais elle a l'avantage de mettre en évidence qu'en l'absence d'un "edge" (avantage), il faurt revoir le système (que le edge soit le nombre de gagnants ou le montant du gain par extension) . La fin de l'article rappelle que plus le risque par trade augmente plus le risque de ruine s'accroit. C'est toujours bon à rappeller.

Bons trades www.jctrader.com  Le money management est la clé du succès

 

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8 juillet 2007 7 08 /07 /juillet /2007 23:38
Un excellent article de Brett (un de plus...)
"Overconfidence and Underconfidence in Trading: Biases in Processing Emotions" by Brett SteenBarger , www.traderfeed.blogspot.com

 

 
I'm reading an older, but excellent summary of research called We"Welle Being : Foull-Being: The Foundations of Hedonic Psychology, edited by Kahneman, Diener, and Schwartz. The large volume covers what we know about positive and negative emotion from personality, social, and biological perspectives. The gist of many of the chapters is that our processing of emotions tends to be biased, and these biases affect our perception, judgment, and behavior. Many of these biases raise particular challenges for traders and investors in financial markets.

Kahneman's chapter on "Objective Happiness" introduces a bias consistently supported in the research literature. Let's say we track a person over time and every so often ask this individual to report her emotional experience at that moment. This experience sampling method is one way that we can track emotional ups and downs through the day and connect those to thoughts, events, and behaviors occurring at that time. We might even try to derive a measure of objective happiness by averaging ratings of emotions over that period of time.

A different method for studying emotional experience is simple self-report. We can ask the individual to look back on a particular day and rate her emotional experience. Self-report is the method most often employed by psychologists, no doubt because it is far easier to obtain the desired information. Unfortunately, however, self-report turns out to be quite biased.

Our self-reported emotion for a given period of time, Kahneman reports, is relatively insensitive to the duration of the period being rated. For instance, let's say I am rating the pain from my recent bout of appendicitis. The amount of time that I was in pain does not significantly affect my retrospective self-report. Nor is my self-report an average of the pain ratings I might have made on, say, an hourly basis over a two-day period. Rather, my self-reported pain is influenced by only two variables:

1) The peak amount of pain that I experienced during the episode; and

2) The final pain that I experienced.

This "peak-end rule" appears to apply to a variety of emotional experiences. Our self-reported emotional experience is greatly biased by moments of intense emotion and by our most recent emotions.

Here's a simple application to trading:

On Monday I placed a particularly poor trade. Despite the consistent strength in the NYSE TICK and despite the low volume of the pre-holiday trade, I tried to fade the S&P 500 Index. The position sat and did little for a considerable period of time, owing to the light volume. I muttered to myself that it wasn't worth trading this market. Just at that time, a program trade hit the tape and helped lift the market over a full S&P point. Now I'm particularly frustrated, having just given up the gains from a prior trade during a period when I shouldn't have been in the market at all. Grimly, I held the position because I saw no upside follow-through to the program trade. Over the course of the next half hour, the market retraced and, as soon as I was able to take a small profit, I did so. That mercifully ended my trading day.

Later that day, I caught myself feeling good about my recent trading--and then wondering why the hell I was so pleased. Yes, I finished the day at a new equity curve peak for the last several years and that's always nice. But I really had traded Monday's market poorly. During the trade on Monday, I was miserable. I knew I was in a bad trade. Because my size was small, however, and because the market didn't explode in the wake of the program trade, I never hit a peak level of extreme pain. Moreover, I ended the trade green for the day and so didn't experience an ending level of discomfort. My subsequent emotional processing of the day was far more positive than warranted--a situation that could easily have caused me to enter Tuesday's trading in an overconfident state.

Now let's imagine the opposite scenario. Suppose I place three good trades--each with a historical edge in my favor--and size those positions prudently. Each of the three goes against me and I stop myself out at my chosen level to avoid catastrophic drawdowns. If I trade once a day and average 60% winning trades, I will be likely to encounter such strings of three consecutive losers eight or more times during a year simply as a matter of chance. But what will my emotional experience be over those three days? Instead of feeling positive about how I'm trading, my peak negative emotion and my final emotional state are apt to be one and the same. Frustrated over not making money despite doing the best I can, I will report more negative emotion than an average of momentary experiences over the three days would warrant. Out of that negative emotion, I could enter the next day in an underconfident state, reducing my trading size just when I'm likely to get my trading back on track.

The peak-end rule bias reported by Kahneman helps to explain why traders can oscillate between periods of overconfidence and underconfidence. We base our confidence, not so much on the process of our trading or even on the average of our emotional experiences, but on peak and recent events. A recent big winner can lead us to over-rate our positive emotion and make us overoptimistic in subsequent trading. Similarly, a recent losing streak can lead us to conclude that we're in a "slump" and no longer able to trade well.

Is there a way out of the dilemma? It turns out that simple self-awareness might be all that is needed. In one study, experimenters asked subjects to rate their life happiness. Subjects who were asked the question on a rainy day rated their life happiness lower than those asked on a sunny day. It's a clear example of how our emotional judgments are biased by our most recent experience. When, however, the experimenters first raised the issue of weather with a simple comment, such as "It's a nice day today", the weather no longer biased the subjects' responses.

Similarly, by keeping peak and final emotional experiences in mind and reminding ourselves of our entire emotional experience (e.g., reminding myself how miserable I felt when I was in a bad trade even as I'm feeling self-congratulatory), we can minimize biasing effects. In a sense, we want to fade our own emotional responses: our processing biases suggests that things may not be as bad as we're feeling when we're really down or as good as we're feeling when we're euphoric.

Moreover, by sizing positions appropriately for our account sizes and by adhering to prudent rules that keep risk and reward aligned (including stop-loss levels), we ensure that we never hit peak levels of pain that can traumatize us and greatly bias our subsequent judgment. Outsized emotional experience--positive or negative--is more likely to sway our perception and behavior than moderate levels of feeling. Sound money management is perhaps the most powerful form of psychological prevention among traders.

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